Née à Clichy-la-Garenne, Sophie Lavaud est conceptrice/réalisatrice indépendante d’installations digitales artistiques et enseignante-chercheure, qualifiée en Arts et Sciences de l’Art et en Sciences de l’Information et de la communication.

Formation universitaire : C’est une artiste française dans le domaine des arts visuels et numériques interactifs qui vit et travaille à Paris. Diplômée en Arts visuels de l’université Paris 1, elle obtient en 2000 un DEA en Esthétiques, technologies et créations artistiques à l’université Paris 8 soutenant son mémoire sur le thème « De la peinture au virtuel », sous la direction de Edmond Couchot et Jean-Louis Boissier. Elle est titulaire, depuis 2005 d’un Doctorat en Art et Sciences de l’Art de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sur les « Scénographies interactives – Corps interfacés et systèmes dynamiques » sous la direction d’Anne-Marie Duguet.

Formation professionnelle : Elle a complété sa formation universitaire par une formation et une expérience professionnelle de réalisateur 3D et multimédia. Son travail n’a cessé d’évoluer en expérimentant diverses techniques et supports de représentation graphiques et picturales. Passionnée de peinture et d’histoire de l’art, poussée par le besoin de trouver des modèles de figuration en adéquation avec son époque, elle s’est tournée très tôt vers l’utilisation des technologies de motion design et vers des concepts incorporant les gestes du public à l’œuvre. C’est pourquoi la réflexion théorique qu’elle a développée parallèlement à ses activités artistiques internationales se trouve à la frontière de divers champs disciplinaires recouvrant bien évidemment l’art (notamment les arts visuels, scéniques et hypermédia), l’histoire et les théories des arts et des media mais également les sciences de l’information et de la communication et le design d’espaces d’interactions.

Pratique artistique : Depuis son enfance, elle dessine et peint, expérimentant sans cesse de nouvelles techniques, développant ainsi son thème de prédilection : l’étude des corps en mouvement. « Sa quête réside dans la gageure de saisir le moment d’instabilité, imprévisible, où une chose en devient une autre. L’instant de bascule et de passage, dans lequel la vigilance trompée de nos sens fixe une image, alors que ce qui doit être capté pour Sophie Lavaud – si ténue soit-elle- c’est l’essence même d’un mouvement en cours » écrit Fred Forest[1]. Sa quête incessante de traduire non pas les choses dans leurs figures, dans leurs aspects de surface, mais les mouvements des phénomènes dans leurs transformations, l’a conduite, en tant que peintre traditionnelle nourrie par de nombreux voyages en Italie et des visites de musées un peu partout dans le monde, à créer des séries « Corps-espaces », « Systèmes dynamiques », « Entropies ». La matière, dans ces peintures se comporte comme des particules dans un système dynamique se régulant entre ordre et chaos.

Parallèlement, dès 86 elle s’initie à l’ordinateur et utilise des palettes graphiques pour créer des images 2D, puis des univers en 3D et des images de synthèse animées. Sa pratique de la peinture évolue alors sous la forme d’installations dans l’espace de la galerie. Une installation comme Dynamique tridimensionnelle met en espace huit panneaux d’altuglas peints avec des encres sérigraphiques transparentes, dont la lecture, par la mobilité du regard du public qui se déplace autour, se fait par superpositions ou décompositions des différentes couches de peinture. A partir des années 90, elle explore en pionnière, les possibilités poétiques et expressives des médias numériques interactifs, allant de l’image de synthèse à la réalité virtuelle, en passant par le web. En 1994, l’animation en image de synthèse Catharsis, travail collectif dont elle a écrit le scénario, est sélectionnée pour le concours ACM Siggraph France.

Après avoir exposé ses dessins, peintures et installations dans des galeries et centres d’art, elle expose alors, en tant que « peintre digitale » depuis 1994, des scénographies à partir de tableaux peints, mondes virtuels immersifs avec lesquels le public est invité à interagir. C’est ainsi qu’elle franchit le cap de la peinture à la création numérique interactive, de la finitude de la toile peinte à  l’infini des parcours et des points de vue dans la toile virtuelle, de la surface à la profondeur, de la solidité à la fluidité, de la matérialité à la dématérialisation, de la localisation à la déterritorialisation. Elle a ainsi réalisé Centre-Lumière-Bleu (1994), projet multiplateforme comportant une installation interactive en réalité virtuelle, des animations 3D pré-calculées et une création sur le web Cyber – Light – Blue, commande en 2000 du festival @rt-Outsiders, et primée au concours de création multimédia organisé par la société NOOS, en mai 2001 à la FIAC de Paris, puis le Technomariage (1999) en collaboration avec Fred Forest et le Tableau scénique n°1 (2003). Poursuivant à travers ces œuvres ses thématiques privilégiées : les flux, les mouvements, les cycles, les corps énergétiques, les tensions, les échanges, les connexions et les relations intersubjectives d’information et de communication pour essayer d’en extraire la dimension esthétique.

Ce qu’elle recherche à travers l’utilisation de technologies numériques comme la 3D temps réel et la réalité virtuelle et augmentée, ce sont de nouvelles possibilités d’écritures et de scénarisations. Par la conception de ses « tableaux-systèmes dynamiques», peintures « augmentées » mettant en jeu et en scène des interactions de formes, couleurs, textures, lumières et  mouvements c’est l’expression du corps du public, son corps « mental » et son corps « physique » selon la pensée de Alain Berthoz, qui se trouve au centre de l’œuvre et de sa perception pour offrir de nouvelles expériences esthétiques, ludiques et sociales. A propos de son œuvre Centre-Lumière-Bleu, Annick Bureaud écrit : « Le public n’est plus face à une représentation d’un objet ou de la nature mais dans l’action de (re)créer un environnement, sans cesse changeant et renouvelé, par son déplacement dans l’œuvre »[2]. Un déplacement dans l’espace de présentation aussi infime soit-il, amène, consciemment ou non, un déplacement de l’esprit, un changement de posture mentale, ajoutant ou remplaçant un point de vue différent à la perception présente. Ce qui pousse ici à se déplacer, c’est l’effet de surprise ou d’interrogation en réaction au comportement de l’environnement virtuel.

Annick Bureaud décrit ainsi le processus : « Centre-Lumière-Bleu invite à la méditation, à une action qui n’est pas seulement une agitation désordonnée, mais fondée sur une écoute de « l’extérieur » pour en trouver l’écho à l’intérieur de soi »[3].

Pour paraphraser Duchamp pour qui la participation du spectateur se décrit dans ce postulat : « C’est le regardeur qui fait le tableau », nous dirons que dans cette œuvre, c’est le corps qui fait ou défait le tableau. « Avec les environnements, c’est le corps du spectateur et non plus seulement son regard qui s’inscrit dans l’œuvre, tandis que celle-ci gagne encore en étendue » écrit Edmond Couchot [4].

Son travail est récompensé par l’obtention de l’E-toile d’Or, en tant que lauréate de la quatrième édition des Vœux de l’Internet 2007, catégorie Art, Salon d’honneur, Hôtel National des Invalides, Paris.

Privilégiant la notion de projets, de processus, d’actes, d’actions, d’expérimentations et de recherches par rapport à la production de produits et d’objets, elle crée en 2004 son « laboratoire d’idées pour le futur » think tank autour du corps et de l’image en mouvement regroupés sous le label  MaTricE AcTiVe. Ce laboratoire s’appuie sur l’idée de “peintures augmentées” et préfigure des œuvres, des applications pédagogiques, des serious games et de nouvelles formes sensibles de médiation culturelle, s’appuyant sur le concept “d’enaction” dans un «monde non pas pré-donné mais où les individus et le monde se déterminent l’un l’autre » selon Francisco J. Varela.
S’inscrivant dans une démarche prospective, ce laboratoire vise l’innovation, une réflexion et une création des usages de demain et des métiers qui leur sont liés.

Son travail pratique et théorique explore maintenant depuis le projet Matrice Active et la réalisation du Tableau scénique 2.0 comment les technologies émergentes et les approches scientifiques actuelles comme l’Intelligence Artificielle distribuée, peuvent prolonger et traiter des questions qui ont de tout temps été abordées par les arts picturaux : le temps, l’espace, la perception.

Le travail de Sophie Lavaud a été présenté dans des manifestations ou festivals nationaux et internationaux : FIAC, @rt-outsider, Isea, Siggraph, Foire international d’art contemporain, Metz, Art Jonction International, galerie Kandler, Galerie de la Pleau…

Activités d’enseignement et de recherche : Parallèlement à la conception de projets de créations expérimentales, son activité s’étend au domaine de la pédagogie, de l’enseignement et de la recherche. Elle a créé, dirigé et géré pédagogiquement et administrativement pendant une dizaine d’années un atelier de dessin-peinture avec un enseignement basé sur la relation mouvement-musique-danse. De novembre 2002 à novembre 2003 elle est invitée en résidence, en tant que chercheure à La Villa Media (Résidence européenne pour le multimédia éducatif) à Grenoble. Sa recherche a abouti à la conception de ressources pédagogiques numériques, à la muséographie interactive et à la mediation sensible d’oeuvres d’art patrimoniales. Ce qui l’a amenée à encadrer, en tant que co-directrice de recherche (avec Yves Demazeau, directeur de recherche au CNRS) des réalisations multimédias et mémoires d’étudiants de niveau Master 1 & 2. Elle a poursuivi ses recherches au sein de différents laboratoires universitaires dans des équipes de recherche en art, en design et en communication (Paragraphe : séminaire L’action sur l’Image, créé par Jean-Louis Weissberg et Pierre Barboza, MSH Paris-nord à Paris 8, LETA à Paris 1 en tant que doctorante, CIEREC à l’université Jean Monnet de St-Etienne dans l’équipe Arts numériques). Elle a organisé des séminaires, et est invitée régulièrement dans des conférences en France et à l’étranger (à New York, Bilbao, Londres, Casablanca, Paris…). Elle publie régulièrement des articles dans des revues internationales, nationales et des ouvrages scientifiques (éditions du Seuil, Hermès/Lavoisier, L’Harmattan, Ligéia-CNRS, Peeters Publishers).

Sa pratique d’enseignement articule pratique et théorie et s’est exercé dans diverses universités (Université de Franche-Comté, UTC Compiègne, Université Jean Monnet), au niveau Licence et Master  en arts visuels et numériques, communication, écriture et scénarisation multimédia et en design d’interactions.  Elle a ainsi enseigné les enjeux esthétiques, techniques et communicationnels des supports numériques et du multimédia et encadré le suivi de projets individuels et collectifs des étudiants.  Elle a également été invitée pour diriger des ateliers d’écriture de projets d’art numérique interactif au Canada (école d’art d’Ottawa, InterAccess Electronic Media Arts Center, Toronto).

Elle a enseigné la théorie et pratique de l’art numérique pendant trois ans à l’Université Jean Monnet de St-Etienne et chercheure associée au CIEREC (Centre Interdisciplinaire d’Etudes et de Recherches sur l’Expression Contemporaine). A ce titre, elle est membre scientifique et membre d’organisation du colloque e-Formes 4 sur le thème « Les e-Formes face à l’éphémère technologique ». Voir programme à télécharger ici.

Elle est actuellement chercheure associée à l’UMR ACTE de l’université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne, UFR 04, Arts Plastiques dans l’équipe Art & Sciences.

Activités professionnelles :

Sophie Lavaud exerce depuis 2012 des activités de consultante en arts et design numériques, de conférencière sur l’art contemporain et de gestion de projets multimédia multiplateformes et design d’interactions pour la pédagogie au sein de la coopérative d’entrepreneurs CLARABis (Coopérative de Liaison des Activités et des Ressources Artistiques) pour les professionnels de l’audiovisuel, du numérique et du multimedia. http://www.cae-clara.fr/358

Prestations : Mairie de Sceaux, Mairie de Paris, 100ecs – Etablissement Culturel et Solidaire, DIY Days, Campus Fonderie de l’image, PREAC (Pôle Régional d’Education Artistique et Culturel), C.D.A. d’Enghien les Bains, MacVal, Le Cube, la Gaîté Lyrique,  Ecole et Espace d’art contemporain Camille Lambert, Médiathèque Raymond Queneau à Juvisy-sur-Orge, IRCAM, Musée des Arts Décoratifs de Paris, Le Cent Quatre)…

 

 

 

 


[1] « De la peinture au virtuel ou l’art du voyage initiatique », Fred Forest, Epiphaneia, n°2, avril 1997, p.56.

[2] Catalogue de l’exposition « Art virtuel. Créations interactives et multisensorielles », Beaux Arts Magazine,  déc. 1998, p.16.

[3] Catalogue de l’exposition « Art virtuel. Créations interactives et multisensorielles », Beaux Arts Magazine,  déc. 1998, p.16.

[4] Edmond Couchot,  La technologie dans l’Art. De la photographie à la réalité virtuelle, éd. Jacqueline Chambon, Nîmes, 1998, p. 86.

PRIX / DISTINCTIONS / RESIDENCES

2007

Lauréate de la quatrième édition des Vœux de l’Internet 2007, catégorie Art, Salon d’honneur, Hôtel National des Invalides, Paris.

2004

Résidence à l’Atelier Art 3000/Le Cube, Issy-les-Moulineaux.

2002 – 2003 :

Lauréate de La Villa Media, Grenoble.

2001

Lauréate du concours d’aide à la création multimédia, Noos, en Mai 2001, pour Cyber-Light-Blue.

1994

Sélection Catharsis pour le concours ACM Siggraph France (catégorie Ecole et universités).

EXPOSITIONS (sélection)

 

2017

25 octobre – 12 novembre, « Emergilience, un work in progress de Sophie Lavaud », Art & Sciences in Evolutionary Computation, un événement artistique en parallèle de la conférence scientifique Artificial Evolution 2017, Galerie Louchard, 49 av. Jean Jaurès – 75019 Paris. (France)

https://www.openscience.fr/Emergilience

 

2015

à partir du 9 avril, présentation du film « Tableau scénique 2.0 », SPAMM of Virtualism, exposition en ligne

http://spamm.fr

 

2014

1er juillet, présentation du film « Tableau scénique 2.0 », 20 ans de l’IESA Multimedia, Galerie de l’Espace Cardin – Paris. (France)

 

12-15 juin, « Matrice Active Métropole », La Fabrique des imaginaires métropolitains, Futur en Seine, au 100 Etablissement Culturel et Solidaire, 100 rue de Charenton – 75012 Paris. (France)

2013

5 – 23 novembre, « Le Mouvement – Sciences et Arts Visuels », 5ème Biennale La Science de l’Art, Médiathèque Raymond Queneau, place Jean Durix – 91260 Juvisy-sur-Orge (France).

2012

1er– 2 Mars, « Workshop on movement qualities and physical models visualizations », présentation de « Matrice-Active », studio 5, IRCAM-Centre Pompidou, Paris. (France)

7 – 29 janvier,  « e-Mandala, un hommage à Henri Bergson »  Chapelle du Péristyle – Eglise Saint-Sulpice – Place Saint-Sulpice – 75006 Paris. (France)

2011

6 – 30 décembre, « Les vierges de Noël », Espace St-Sauveur, 51 rue Guynemer – 92130 Issy-les-Moulineaux. (France)

18 – 23 novembre, Cyberfest 2011, International Cyber Art Festival, The State Hermitage Museum, Saint-Petersbourg. (Russie)

28 novembre – 1er décembre, Interactive Arts Exhibit ACM Multimedia 2011, Scottsdale, Arizona. (U.S.A)

25 août : « From Pigment to Pixel », organisation – show at Residency Unlimited, 360 Court Street in Caroll Garden, Brooklyn, New York. (U.S.A).

http://www.residencyunlimited.org/

23 – 26 juin : Futur en Seine, Village des Innovations, Le Centquatre, 104 rue d’Aubervilliers -5 rue Curial – 75019 Paris. (France).

25 – 27 mai : journées Informatique musicale, campus universitaire Tréfilerie, St-Etienne (France)

à partir du 20 mars : Fête de l’Internet 2011, MUSEAAV, Nice. (France) et sur Internet.

2008

12 et 13 Décembre : Artmedia X, BnF (Bibliothèque Nationale de France), Paris. (France)

25 juillet-3 août : Isea 2008 (International Symposium on Electronic Art), Singapore

http://www.isea2008singapore.org/conference/conf_schedule_30.html

20-29 Mars : Stony Brook University, Manhattan, New York City (U.S.A)

http://philosophyartconference.org/schedule.html

2006

19-20 octobre : installation interactive « Tableau scénique n°1 », Ecole Nationale Supérieure Louis-Lumière, Noisy-Le Grand. (France)

2004

29 avril – 3 mai, Art Metz, Foire européenne d’Art Contemporain, Espace multimédia, Metz. (France)

2002

29 novembre – 1er décembre, Colloque international Artmedia 8, « De l’esthétique de la communication au Net-Art », CFCE, Paris. (France)

5 – 10 mars, 9ème Festival International d’Art vidéo de Casablanca (Maroc).

2001

3 – 22 décembre, « VirtualSpaces », SharpGallery, New York. (USA).

31 mai – 4 juin, Art-Jonction International, stand B40, Parc des Expositions, Nice. (France)

6 – 30 juin, Galerie Depardieu, Nice. (France)

2000

7-10 décembre, ISEA 2000 (International Symposium on Electronic Art), Forum des Images, Paris. (France)

Décembre, « Art génératif », curator : Louis-José Lestocart, exposition en ligne sur le WebNetMuseum.

http://www.webnetmuseum.org

9 – 13 octobre, « Art numérique », curator : Patrick Goubet, Espace Connectik, Lyon. (France)

7 – 17 septembre, « Festival @rt-Outsiders »: curator : Henri Chapier, Jean-Luc Soret, Maison Européenne de la photographie, Paris. (France). Création d’un Cyber-Parcours sur Internet.

1999

29 novembre – 10 décembre, « Artissima », Figure Gallery, Turin. (Italie).

18 mars, « Technomariage » avec Fred Forest, fête de l’Internet, mairie d’Issy-les-Moulineaux. (France)

http://www.fredforest.org/technomariage/default.htm

1998

5 décembre – 9 janvier 99, « Art virtuel, créations interactives et multisensorielles », curator : Franck Popper, Espace Landowski, Boulogne-Billancourt. (France)

6 mai – 28 juin : « Festival d’Art et Technologie », Bibliothèque de l’UTC (Université de Technologie de Compiègne), Compiègne. (France)

20 – 22 mars : « Internet et l’Art », curator : Anne-Marie Morice, Synesthésie, Espace d’exposition Artsenal, Paris. (France)

15 février – 15 mars : « Art & Science 98 : L’eau », Parc Phoenix, Nice. (France)

1997

5 – 25 janvier : « Cyber, Cités, Citoyens », Cité des Sciences et de l’Industrie, La Villette, Paris. (France)

1996

18 – 22 octobre, « F.A.U.S.T », Parc des expositions, Toulouse. (France)

5 -6  avril, « Soft qui peut », curator : Art 3000, Palais des Congrès, Futuroscope, Poitiers. (France)

13 – 17 mars : « Un Printemps d’artistes, Ars Multimedia », Basilique St. Pierre aux Nonnains de Metz. (France)

1995

22 novembre – 21 décembre, « É-clats », Espace Saint-Cyprien, Toulouse. (France)

29 – 30 novembre : « UniverSun », Carrousel du Louvre, Paris. (France)

4 – 25 mai, « Ordre et Chaos », Galerie Françoise Friederich, Cologne. (Allemagne)

1994

29 – 30 novembre : « Exposition inaugurale de l’atelier d’Art 3000 », Procréart, Paris. (France)

1993

16 mars – 17 avril, « Lumières et Matières », Galerie Kandler, Toulouse. (France)

1992

5 – 17 juillet : « Différentiels. Art et cognition », Atelier Vie Artificielle de Louis Bec, Aix en Provence. (France)

1991

10 juin – 25 juillet, « Peintures », Galerie de la Pleau, Toulouse. (France)

3 – 25 mars, « Matières et Transparences », Galerie Kandler, Toulouse. (France)

4 – 30 janvier, « Intérieur-Extérieur », Espace Saint-Cyprien, Toulouse. (France)

1990

« Inédits », Galerie de la Pleau, Toulouse. (France)

1989

« Rêves-Solution », Bicentenaire de la révolution française, Toulouse. (France)

« Internation’Art », Paris, Barcelone, Auch. (France)

1988

« Jeune Peinture en Midi-Pyrénées », Centre de promotion culturelle, Université de Toulouse-Mirail. (France)

1987

« Dessins », Art-Jonction International, Nice. (France)

1986

« Toulouse 86 Jeune Génération », curator : Alain Mousseigne, Musée d’Art Moderne, Toulouse. (France)

« Malerei », Galerie Odem, Hanovre. (Allemagne).

Pour télécharger la version longue de la biographie, cliquez ici